Bonne entente imposée

UN CAS SIGNIFICATIF DE BONNE ENTENTE IMPOSEE :
  «Je ne veux pas savoir ce qui s’est passé », dit le juge.



( témoignage public : « Envoyé spécial – France 2 – du 27 septembre 2007)

    De cette affaire, l’AVPE ne sait que ce qui a été rapporté dans ce reportage fait avec beaucoup de professionnalisme.
    La séparation d’un couple a donné lieu à un violent conflit rapporté par les avocats : «phénomène de destruction physique et morale » de la part du père, qui « tente de se suicider d’un coup de poignard dans le ventre devant ses enfants ».
    On apprend que le juge avait connaissance de ces faits . La garde des enfants avait néanmoins, lors d’un précédent jugement, été confiée au père. L’avocate de ce dernier, devant
les caméras, déduit de « la violence inouïe » des faits que la mère a des « problèmes psychologiques graves ». Qui l’eût cru ?
    Le juge annonce clairement sa vision du dossier . Il avait imposé une médiation qui avait échoué et il déclare « Je ne veux pas savoir qui a tort et qui a raison, on est là pour préparer l’avenir. ».

Commentaires :

    Nous n’avons que les éléments qui ont été présentés mais que nous supposons significatifs. 
► Ce dossier démontre que la folie évidente d’un parent et sa violence sont absolument ignorées par le juge qui cherche par tous les moyens à imposer une relation parentale apaisée en confiant l’enfant au plus violent. 
► Quant à la médiation, c’est une nouvelle preuve de son inefficacité quand elle est imposée dans des circonstances conflictuelles.










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